#hopeandhealingcanada, 2021-2022
Tracey-Mae Chambers (Hamilton, Ontario)
Des entrelacs évocateurs de la toile d’araignée et de proliférations végétales forment une canopée monumentale au-dessus du passage piéton de la Place. Issue d’une série ambitieuse diffusée à la grandeur du continent, l’installation de fils rouges s’inscrit dans une démarche de guérison en réponse aux sépultures de masse trouvées sur les lieux historiques de pensionnats autochtones canadiens. Tracey-Mae Chambers souhaite tisser (et tricoter) des liens pour entretenir un dialogue réparateur sur la réconciliation et la décolonisation.
Valorisation du patrimoine : La pratique du tricot et la conception de capteurs de rêve sont toutes deux issues de savoir-faire traditionnels transmis d’une génération à l’autre. Alliées ainsi, elles font appel à la mémoire vivante des communautés allochtones et autochtones sur la Place Royale, lieu d’échanges commerciaux entre les Premières Nations et les colons à l’époque de la Nouvelle-France.
Tracey-Mae Chambers est une sculptrice qui manipule des matériaux organiques tels que la cire d’abeille ou la laine pour traiter d’interrelations humaines et naturelles. Elle renoue avec son héritage ojibwa-métis au moyen d’installations in situ dans l’espace public, les lieux historiques et les espaces de diffusion culturelle à travers l’Amérique du Nord.
Valorisation du patrimoine : La pratique du tricot et la conception de capteurs de rêve sont toutes deux issues de savoir-faire traditionnels transmis d’une génération à l’autre. Alliées ainsi, elles font appel à la mémoire vivante des communautés allochtones et autochtones sur la Place Royale, lieu d’échanges commerciaux entre les Premières Nations et les colons à l’époque de la Nouvelle-France.
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