Several buildings seem to have come to life with big googly eyes, recalling emoji. Thus personified, these architectures challenge the viewer and direct their gaze, while giving them the unsettling impression of being watched by a Big Brother-like presence. This ostensibly benign yet oppressive form evokes our ambiguous relationship with social networks in the era of surveillance capitalism. While entertaining content and endless emoji give such digital platforms a veneer of harmlessness, they capture our personal data to feed industries bent on controlling our behaviour.

Plusieurs bâtiments semblent être venus à la vie, affublés de grands yeux caricaturaux. L’architecture ainsi personnifiée pique la curiosité: veut-elle porter à notre attention un point de vue inédit ou est-elle en train d’épier nos comportements? Cette présence, bienveillante et opressante, réfère au Big Brother de George Orwell et renvoie à nos relations ambigües avec les réseaux sociaux à l’ère du capitalisme de surveillance. Sous des allures inoffensives, les plateformes numériques nous observent imperceptiblement pour nourrir des industries qui orientent et conditionnent nos comportements.