Remerciements
Michael Patten, Biennale d’art contemporain autochtone, Conseil des arts du Canada, SODEC, Lucille Côté
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Vestiges de la Nouvelle-France et de son berceau sur la Place Royale, les voûtes historiques sont transfigurées en sanctuaire animiste où se côtoient les corbeaux, l’ours, le castor, le renard et l’orignal. Dans ces souterrains autrefois consacrés à l’entreposage commercial de fourrures et de textiles, l’ensemble installatif d’Eruoma Awashish traduit une volonté de décoloniser le sacré en amalgamant des objets de tradition chrétienne à des matières, des savoir-faire et des symboles d’origine atikamekw.
Eruoma Awashish s’intéresse à l’universalité des expressions du sacré. Elle emploie un langage visuel et symbolique qui relie les traditions autochtones et allochtones et qui souligne les interrelations harmonieuses dans l’équilibre du cercle de la vie. Elle a notamment exposé à la Biennale d’art contemporain autochtone, au Musée des beaux-arts de Montréal et au Musée d’art de Joliette.
Michael Patten, Biennale d’art contemporain autochtone, Conseil des arts du Canada, SODEC, Lucille Côté
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